Compact et résistant, ce drone à la signature visuelle et sonore très faible se déplace dans les airs sans se faire remarquer par d'éventuels intrus. Ce qui en fait un outil particulièrement adapté aux besoins des opérateurs de surveillance des sites sensibles.
Comme son nom l’indique, ce petit drone de 15 cm de hauteur est si discret qu’il se fond comme une ombre dans les airs. Elaboré par Drone Volt, une start-up tricolore experte en construction de drones et intelligence artificielle embarquée, il a été pensé pour servir la surveillance de sites sensibles, la reconnaissance ou encore la cartographie. Autant d'applications pour lesquelles la furtivité d’un dispositif de sécurité est cruciale. Un drone facile à transporter Sa particularité ? Du fait de ses dimensions très réduites, l’engin volant présente une très faible signature visuelle et sonore, à laquelle s'ajoute sa capacité de vitesse de déplacement allant jusqu’à 90 km/h. Ce qui le rend difficile à détecter. D’une portée de 5 km, ce drone a beau être de petite taille, il embarque de puissantes caméras infrarouges qui captent avec précision des images telles que des plaques d’immatriculation ou des visages, et ce de jour comme de nuit. Selon l’utilisation requise, deux systèmes de vidéosurveillance sont disponibles. A commencer par la double caméra stabilisée Colibri 2 de Nextvision à technologie optique et infrarouge (EO-IR), capable de zoomer 20 fois. Quant au mode Picture-in-Picture, il combine deux caméras Flir duo, l’une thermique (160 x 120) et l’autre couleur (2 mégapixels) que l'on peut utiliser simultanément ou à tour de rôle. Un renfort en fibre de carbone Le drone, dont les prises de commande ont démarré début février, se caractérise par sa robustesse qui lui permet de résister aux intempéries ainsi qu’à des vents allant jusqu’à 40 km/h. Il est, en effet, doté d'une structure rigide avec un châssis en nylon renforcé de fibres de carbone capables d’encaisser les chocs. Il bénéficie également d’une autonomie de 20 minutes avec une portée de transmission vidéo de 5 km. Côté cybersécurité, les flux de données sont protégés grâce à un algorithme d’encryptage AES-256. Enfin, les missions se programment à partir d’un écran de contrôle qui affiche également les données télémétriques. ALARME INCENDIE - EUROPOLY : un incendie met une trentaine de salariés au chômage technique2/6/2019
Les locaux de la société Europoly, situés dans la zone industrielle de Mornant (Rhône), ont été ravagés par un incendie. Une trentaine de salariés est au chômage technique depuis le mardi 29 janvier au matin. Le feu, qui s’est déclenché dans la soirée du lundi 28 janvier 2019, a détruit deux des trois bâtiments de l’entreprise.
L’année 2019 ne débute pas sous les meilleurs auspices pour la société Europoly. Dans la soirée du lundi 28 janvier, cette entreprise spécialisée dans la conception d’équipements industriels a vu deux de ses trois bâtiments – situés dans la zone industrielle de Mornant – partir en fumée. Enquête judiciaire en cours pour l’incendie d’Europoly L’incendie s’est déclenché entre 21h00 et 21h30. Il est notamment question d’un ravage sur 1 200 à 1 300 m². Le feu a ainsi détruit l’atelier de production de l’entreprise. Un deuxième bâtiment a été « très fortement endommagé ». Le troisième et dernier bâtiment a quant à lui pu être épargné grâce à l’intervention des sapeurs-pompiers. Le Progrès annonce de son côté que cet incendie aura mobilisé 27 engins et 70 hommes. France 3 Régions confie pour sa part que cette intervention aura duré « toute la nuit ». Plusieurs questions restent néanmoins en suspens au sujet de cette intervention. Par quel moyen les secours ont-ils été alertés du déclenchement de l’incendie ? Quel laps de temps s’est écoulé entre cet appel et l’arrivée des secours sur le lieu d’intervention ? Combien de temps a précisément duré cette intervention ? Quels ont été les dommages matériaux suite à cet incendie ? Quelles pistes sont privilégiées concernant le départ de l’incendie ? Aucun délai fixé pour une reprise L’atelier de production parti en fumée, c’est une trentaine de salariés qui se retrouve potentiellement sur le carreau depuis le 29 janvier au matin. Du moins temporairement. Un retour à l’emploi est d’ores et déjà dans les tuyaux. « Des mesures de chômage technique vont devoir être prises ». En attendant, « un appel aux entrepreneurs de la région va être très rapidement passé pour permettre à l’entreprise de redémarrer le plus rapidement possible », confiait la chaîne de télévision plus tôt cette semaine. Aucun délai concernant une reprise de travail n’est cependant fixé pour le moment. |
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Juillet 2020
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